Le Grand Palais : vue d’ensemble et actualité

Le Grand Palais de Paris est un monument de 77 000 m2 situé dans la région de l’Île-de-France et qui reçois environ 2 millions visiteurs par an. L’architecture de ce chef-d’œuvre est réalisé par Charles Girault. En 2020, Diana Velázquez habille ses colonnades d’une peinture bleue montrant des personnes isolées et faibles. Dans cet article, découvrez ce monument parisien et l’œuvre de l’artiste colombienne.

Allons à la découverte du Grand Palais

Ce grand monument au nom du grand palais est une œuvre architecturale située non loin des champs-Élysées face au Petit Palais. Il y est séparé par l’avenue Winston Churchill qui se trouve dans le 8e arrondissement. Il a une superficie de 77 000 m2, ce qui lui permet d’abriter des salons et des expositions de prestige. C’est un chef-d’œuvre architectural construit principalement pour l’exposition universelle de 1900. C’est un alliage de fer, de pierre et d’acier reconnaissable à sa grande coupole en verre flanqué du drapeau français. On y trouve trois grands sites à savoir : la Nef, le palais de la Découverte et les Galeries nationales.
Longue de 240 mètres, la Nef accueille des manifestations de grande envergure (nationales et internationales) dans les domaines comme l’art contemporain, la fête fontaine, l’équitation, etc. Dans les Galeries s’organisent régulièrement des évènements consacrés aux expositions sur certains artistes ayant marqué l’histoire de l’art. Quant au palais de la Découverte, il est un musée et centre culturel dédié aux sciences.

L’artiste Diana Velázquez habille les colonnes du grand palais

Très récemment, ce monument accueille sur sa façade une installation de Diana Velázquez, une artiste colombienne. Ceci à pour but de dénoncer la solitude des plus fragiles comme les vieillards et les infirmes. Jusqu’au 24 février, cette exposition restera sur la colonnade du palais. Elle est composée de 10 toiles hautes de 5 m et portant chacune la représentation d’une personne isolée. Selon l’artiste, l’objectif est de faire réfléchir sur la manière dont << la pandémie a mis en lumière la précarité dans laquelle nous nous trouvons tous, mais qui atteint d’abord les plus faibles >>. C’est pourquoi on voit dans la peinture bleue de l’artiste des hommes et des femmes, vieux et infirmes, isolés sur leur colonne et à distance les uns des autres. Enfin, Diana Velázquez qualifie ces longues files d’attente comme <>.